Comment ne pas parler, cette semaine, du Saint protecteur de Dourgne, lui qui domine fièrement le village du haut de son rocher depuis le 27 décembre 1885. De tout temps, Saint Stapin fut honoré dans la commune, mais aussi à Massaguel et en d’autres lieux encore. Cette semaine, le 6 août exactement, Dourgne glorifie son saint: c'est la fête.
Stapin serait né, dit-on, au début du VIIème siècle dans un hameau près de Dourgne appelé En Lanet. Ce hameau garde le souvenir de cette naissance au lieu-dit Les Mirgues ou Les Mourgues.
Stapin préfère la vie érémitique aux plaisirs de la vie courante et pour cela, il décide de vivre seul sur un plateau désertique appelé aujourd’hui Désert de St Ferréol.
Très vite sa popularité augmente, il est connu pour sa sagesse et surtout pour ses guérisons; l’histoire ou la légende nous dit qu’il guérissait les goutteux, mais aussi les infirmes et les malades de toutes sortes; on venait ainsi le consulter de très loin.
Au milieu de sa vie, peut-être vers l’an 685, il est sollicité pour devenir l’évêque de Carcassonne, cette idée lui fait peur, on vient jusqu’à Dourgne pour le chercher, il se cache alors dans les grottes de la région, notamment dans le Trou Cruzel.
On le décide enfin, mais il ne peut résister à l’attrait de ses montagnes qu’il vient revoir souvent. Sur son chemin, entre Dourgne et Carcassonne, il se repose à Ventenac, petit village de l’Aude qui le vénère encore aujourd’hui.
Il quittera son poste quelques années avant sa mort pour revenir dans les montagnes de Dourgne.
Stapin préfère la vie érémitique aux plaisirs de la vie courante et pour cela, il décide de vivre seul sur un plateau désertique appelé aujourd’hui Désert de St Ferréol.
Très vite sa popularité augmente, il est connu pour sa sagesse et surtout pour ses guérisons; l’histoire ou la légende nous dit qu’il guérissait les goutteux, mais aussi les infirmes et les malades de toutes sortes; on venait ainsi le consulter de très loin.
Au milieu de sa vie, peut-être vers l’an 685, il est sollicité pour devenir l’évêque de Carcassonne, cette idée lui fait peur, on vient jusqu’à Dourgne pour le chercher, il se cache alors dans les grottes de la région, notamment dans le Trou Cruzel.
On le décide enfin, mais il ne peut résister à l’attrait de ses montagnes qu’il vient revoir souvent. Sur son chemin, entre Dourgne et Carcassonne, il se repose à Ventenac, petit village de l’Aude qui le vénère encore aujourd’hui.
Il quittera son poste quelques années avant sa mort pour revenir dans les montagnes de Dourgne.
Sur la carte postale illustrant cet article on peut voir le Faubourg dans les années 60, sous la statue de St Stapin restaurée, on reconnaît les voitures garées : la Renault 4L de Raymond Durand, l’Aronde de Max Bugis, la DS de la famille Perez, la 2 Chevaux Citroën de Jean Azam et le vélo de M. Mialle.
C’est le quartier qui a vu les premières années de ma jeunesse, c’est le temps de pépé Ernest et des feux de la St Jean en haut du faubourg ; qu’elles merveilleuses années avons-nous passées ici.
C’est le quartier qui a vu les premières années de ma jeunesse, c’est le temps de pépé Ernest et des feux de la St Jean en haut du faubourg ; qu’elles merveilleuses années avons-nous passées ici.
Stapin que Dourgne honore
D’un culte solennel
Veille sur nous, ah ! veille encore,Protège-nous du haut du ciel, etc, etc...
D’un culte solennel
Veille sur nous, ah ! veille encore,Protège-nous du haut du ciel, etc, etc...
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