D'après Théophile AZEMAR, écrivain local du 19ème siècle, Dourgne est désigné dans les chartres sous différents noms: Dorniam, Dorinianum, Durnanum Castellum.
Nos ancêtres les Gaulois habitèrent très certainement le site, des vestiges de colonisation romaine sont connus à Contrast, au Plolis ou St Chipoli et à Bernicault.
La Fontaine de Moniès, au fond du Baylou, était très certainement connue et utilisée par les druides Celtes pour leur culte des Dieux et de la nature, n'étaient-ils pas déjà des moines, (moniès).
Emile JOLIBOIS, archiviste du Tarn, écrivait dans l'annuaire du département en 1862, "qu'on nous permette encore de classer parmi les monuments celtiques les pierres percées de St Stapin, car pour les archéologues, la légende de ce saint n'est qu'un mythe ancien rajeuni par le christianisme".
Le "Camis das Roumious" ou "Cami Saïssagués" de Massaguel à Lampy, était une voie romaine qui partait plein sud de la grande Route Romaine passant par Viviers, Verdalle, St Amancet; on peut en voir encore certains tronçons recouverts de gros pavés très grossiers sous la carrière, rejoignant l'ancien chemin des crêtes qui conduit au Camp Romain du Plolis (ou Plaulis) pouvant être lui même une sorte de promontoire avancé à partir duquel tout mouvement dans la plaine pouvait être observé.
Des noms de lieux pré-indo-européens (la Garro ou la Garausse pour désigner un endroit pierreux), ligures (la Calm ou Calmille pour nommer un plateau dénudé), celtes (Bernazobre, Arfons) jalonnent les étapes du peuplement primitif.
Notre région n'échappe pas à l'invasion barbare qui fait basculer l'Empire Romain. Le Haut Languedoc devint ainsi la propriété des Wisigoths puis des Francs. Ainsi trouvons-nous à 813m au dessus de nos toits, le Mont Alric, très près d'une Villegoudou qui pourrait être la ville des Goths.
Nos ancêtres les Gaulois habitèrent très certainement le site, des vestiges de colonisation romaine sont connus à Contrast, au Plolis ou St Chipoli et à Bernicault.
La Fontaine de Moniès, au fond du Baylou, était très certainement connue et utilisée par les druides Celtes pour leur culte des Dieux et de la nature, n'étaient-ils pas déjà des moines, (moniès).
Emile JOLIBOIS, archiviste du Tarn, écrivait dans l'annuaire du département en 1862, "qu'on nous permette encore de classer parmi les monuments celtiques les pierres percées de St Stapin, car pour les archéologues, la légende de ce saint n'est qu'un mythe ancien rajeuni par le christianisme".
Le "Camis das Roumious" ou "Cami Saïssagués" de Massaguel à Lampy, était une voie romaine qui partait plein sud de la grande Route Romaine passant par Viviers, Verdalle, St Amancet; on peut en voir encore certains tronçons recouverts de gros pavés très grossiers sous la carrière, rejoignant l'ancien chemin des crêtes qui conduit au Camp Romain du Plolis (ou Plaulis) pouvant être lui même une sorte de promontoire avancé à partir duquel tout mouvement dans la plaine pouvait être observé.
Des noms de lieux pré-indo-européens (la Garro ou la Garausse pour désigner un endroit pierreux), ligures (la Calm ou Calmille pour nommer un plateau dénudé), celtes (Bernazobre, Arfons) jalonnent les étapes du peuplement primitif.
Notre région n'échappe pas à l'invasion barbare qui fait basculer l'Empire Romain. Le Haut Languedoc devint ainsi la propriété des Wisigoths puis des Francs. Ainsi trouvons-nous à 813m au dessus de nos toits, le Mont Alric, très près d'une Villegoudou qui pourrait être la ville des Goths.
Cette période de l'histoire de Dourgne est évidement très lointaine donc très floue, le Moyen-Age qui suivit nous a laissé heureusement plus de traces; c'est à cette époque que naquit
notre village.
notre village.
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